Une aide pratique et une présence bienveillante dans les jours difficiles
Un décès survient souvent de manière inopinée. Et même quand on s’y attend, le moment de la séparation reste bouleversant. C’est précisément à cet instant, quand la vie s’arrête, que tout s’accélère pour ceux qui restent : formalités bancaires, succession, résiliation des contrats de location ou d’énergie, recherche d’un foyer pour les animaux domestiques… Les conseillers en formalités après funérailles DELA vous aident à faire face à ce tourbillon d’émotions et d’obligations.
Vanessa De Koninck (en Flandre), Stéphanie Werk (en Wallonie) et leur équipe veillent à ce qu’un conseiller DELA rende visite aux proches dans les jours qui suivent les funérailles. L’assistance en formalités après funérailles est, en effet, automatiquement incluse dans toutes les cérémonies organisées par DELA et pour tous ceux qui ont souscrit un Plan de Prévoyance obsèques DELA ou une assurance obsèques Nature. Sans surcoût.
« Nous sommes là pour vous, même quand le silence se fait. »Un soutien indispensable
Vanessa : « L’assistance en formalités après funérailles apporte une réelle valeur ajoutée : elle permet aux proches de se concentrer sur leur deuil. Dans les premiers jours qui suivent le décès, les démarches administratives sont souvent la dernière chose à laquelle on veut penser. »
Tout commence par une liste pratique : succession, comptes bancaires, pension, mutuelle, éventuels prêts, assurances, animaux domestiques, réseaux sociaux…
« On met un peu d’ordre dans le chaos. Nous abordons toutes les démarches administratives essentielles lors d’un entretien individuel d’environ une heure et demie. Le règlement de la succession en constitue la partie principale. En Flandre, il faut établir une déclaration alors que ce n’est pas toujours le cas à Bruxelles ou en Wallonie. Nos membres peuvent, en outre, bénéficier d’un soutien supplémentaire de la part de notre partenaire Successio. Après l’entretien, nous compilons toutes les informations dans un e-mail de suivi clair, nous remettons un guide pratique et nous laissons notre carte de visite. Les familles savent ainsi comment nous joindre, car il arrive qu’elles reçoivent une lettre des semaines plus tard sans savoir quoi en faire. Nous restons à leur disposition. »
Stefan, après le décès de sa conjoint : « Je ne savais pas par où commencer. DELA a tout pris en main. Quelqu’un est venu chez moi, nous avons tout passé en revue calmement. On m’a même rappelé des semaines plus tard pour vérifier que tout était réglé. Je n’oublierai jamais ce soutien. »Un échange qui rassure
Et Stéphanie ajoute : « Nous sommes une trentaine de conseillers, et nous avons tous la même mission : apporter de la sérénité dans une période chahutée, avec la volonté de nous montrer utiles. Nous ne sommes pas des robots qui se contentent de suivre une liste. Nous compatissons, nous écoutons, nous expliquons. Nous déchargeons les proches comme nous le pouvons. Ils ne sont pas seuls : nous les accompagnons pas à pas. On remarque au fil de la discussion qu’ils commencent à se détendre. Ils nous sont reconnaissants. Et nous en retirons beaucoup d’énergie. »
Chez DELA, l’assistance en formalités après funérailles est bien plus qu’un service administratif. C’est un geste empreint de bienveillance. La preuve que vous n’êtes pas seul. Un échange qui apporte de l’apaisement dans le tumulte.
Vanessa : « Prendre soin des autres ne s’arrête pas après les funérailles. C’est pourquoi nous rencontrons le conjoint, les enfants ou les autres membres de la famille quelques jours plus tard. Parfois chez eux, parfois dans un centre funéraire DELA. Il arrive aussi que la rencontre se fasse en ligne. Les premières minutes mettent souvent un peu mal à l’aise. Beaucoup disent qu’il n’y a pas grand-chose à faire, mais comprennent peu à peu l’utilité de cet échange, car un décès s’accompagne de multiples démarches à accomplir. »
Permettre d’y voir plus clair
Ce qui compte, c’est d’apporter une aide concrète, souligne Stéphanie. « Beaucoup de gens pensent d’abord pouvoir tout gérer seuls. Puis ils découvrent la montagne de paperasse… Or tout ce qu’ils souhaitent, c’est pouvoir souffler. C’est là que nous intervenons, pour les aider à y voir plus clair. En plus de proposer une aide pratique, nous sommes toujours à l’écoute. Et cela fait énormément de bien. »
Stéphanie sourit en évoquant une famille qui lui a offert des fleurs après son passage. « Ils m’ont dit qu’ils ne s’en sortaient plus, mais que je leur avais permis de voir le bout du tunnel. Ce genre de reconnaissance nous touche profondément. Elle nous rappelle pourquoi nous faisons ce métier. »
Bien plus qu’un soutien pratique
L’assistance en formalités après funérailles comprend aussi un soutien psychologique pour nos assurés. Vanessa : « Nous proposons jusqu’à cinq séances individuelles ou une séance de groupe, par exemple pour toute la famille. Tout le monde n’en a pas besoin immédiatement, mais c’est rassurant de savoir que cette aide existe, jusqu’à trois ans après le décès. Car ce besoin se manifeste parfois plus tard. Nous pouvons encore être d’une aide précieuse à ce moment-là. »
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